Galactic traveller

Après avoir quitter l'Ouzbekistan il m'a fallu traverser le Turmenistan, en 5 jours vu que l;on ne peux obtenir un visa transit uniquement. Pays très peu connu, régime dictatorial semblable a la Coree du nord, ou l'argent des importantes réserves de gaz fut dépense massivement dans les immeubles administratif, stades  olympique, mosquees ou autre places au statuts imposantes du feu président Turkmenbashi le megalo,  Je retiendrai surtout,une fois de plus, les belles preuve de générosités des habitants de ce pays. mais aussi les jolies yeux verts des filles!!

Puis changement de pays, de culture, de religion et de langue, l'Iran. Arrive a Maashad, après trois jour, ville sainte de l'Islam chiite ou des milliers de pèlerins arrivent chaque jours pour rendre hommage a l'imam Reza  je fut héberge par Amir, un amis cycliste avec qui je suis reste une semaine dans sa famille. Extraordinairement bien accueilli, je découvrit la bonhomie et la gentillesse de ces gens au fils des jours, ainsi que leur traditions et les saveurs de la cuisine Iranienne, Ensuite j'ai suivi l'ancienne route de la soie, maintenant devenue une autoroute ou il reste quand même beaucoup d'ancien caravansérail, Ces lieux disposes tout les 30 kms permettaient au marchants de l'epoque de dormir et manger, de nourrir les animaux et stoker leurs bien en sécurité après une journée de marche après une nouvelle étapes, Il en reste quelques une. certaines maintenu par une légère restauration et d'autre complément reliftee et transformee en hotel restaurant, Apres 11 jours roule et 1200 kms plus loin j'arriva a Kashan, ville historique ou je fit étape dans un hôtel traditionnel, visita le bazard couvert , l'ancien hammam avant de repartir pour Isfahan, Avec ses merveilles d'architecture . Isfahan est la ville la plus touristique d'Iran, Des visites donc encore mais aussi la rencontre de Simone et Mathias, deux Suisse avec qui j' ai partage les 15 jours suivants en vélo a travers les montagnes Zagros, Paysages somptueux ou de nombreux bergers nomades mettent leur troupeaux en pâture l'été avant de redescendre dans les plaines l'hivers, On a fait encore quelques fois l'experience de l'hospitalite des habitants, la gentillesse des commerçants.... C'est ensuite a Shiraz, autrefois connu pour son vin. et ses fameux poètes  que l'on se sépara, Après un bon repos je repris la route vers Yasd tout en m'' arrêtant dans les ruines de l'ancienne Persepolis, témoignage émouvant d'une civilisation ayant vécu ici il y a 2500 avant d'etre détruite par Alexandre le conquérant, Yazd aussi est une des plus ancienne ville d'Iran dotes d'une atmosphère toute particulière avec ses mur en pisé, ses tours servant a capter le vent pour climatiser les maisons et même des citernes destinées a conserver de l'eau fraîche voir même de la glace en pleins désert. L'eau est captée en montagne et acheminée via des tunnels souterrains et ces procédés n'on pas change depuis des siècles.

Pour gagner du temps , j'en avais plus beaucoup sur mon visa , j'ai pris un bus jusqu'a Tabriz au nord ouest avec son bazard historique ou j'ai été gracieuse guide par deux étudiants puis fini ma route a vélo jusqu'en Turquie avec le froid et la neige en prime,

Désole de décevoir tout le monde. mais ici pas de terroristes ni de barbus fanatique, juste des gens avec une culture très ancienne devant faire face au sanctions imposées par l'occident qui empêche le pays de se développer d'un cote et de leurs leader spirituel conservateur avec ses lois archaïques ne mettant pas les femmes a l'honneur par exemples de l'autre' Pas facile donc de vivre en Iran. j'espere juste que les choses irons en s'arrangeant pour eux!

L'ouzbeckistan, c'est un pays d'asie centrale. qui compte un peu plus de 25millions d'habitants, qui a acquit son indépendance en 1991 après la chute de l'URSS comme ses voisins, et qui malgré un régime au pouvoir depuis 23 ans ,que nos pseudo démocraties qualifieraient de dictatures, les Ouzbek ne semble pas mécontent de leur président et des évolutions qu'a vu le pays depuis sont indépendance, et en sont même plutôt fier et je les comprend.. Les premiers jours dans la vallée de fergana, j'ai été héberge, nourri, on m'a offert du thé, des pastèques, des melons ce qui prouve déjà leur générosité contrairement a d'autre pays ou l'on vous considère comme une vache a lait, ici les gens sont curieux, honnêtes et n'attendent rien en retour. J'ai passe un très bon séjour grâce a Rafa et Oybeck qui m'on héberge a Taskent le temps de demander mon visa Turkmène, et ai peu ainsi avoir une autre vision de cette capitale grâce a leurs précieux conseils. Rafa m'a amene avec lui pour une sortie vélo avec des cyclistes locaux a une course de dragsters ''made in Ouzbeckistan'' sur une piste d'essaies de l'union soviétique, la folie ""fast and furious"" a frappe ici aussi. Direction Samarkand, ville déjà connue de la Grece antique pour ses richesses,. carrefour principale de la route de la soie Le symbole du pays nomme le Registan se trouve ici, ensemble de mosquées, de me-dressa, minarets, de mausolées, le tout datant du 14 et 15 siècle, et grassement restaure par le gouvernement pour attirer les touristes et préserver leur héritage.. Un peu trop restaurer justement, même si les batiments sont magnifiques, on tous leurs particularités, différentes couleur de céramiques, diffèrent s assemblages de briques, on ne peu qu'imaginer l'ambience qui devait régner avec les marchands, les caravanes et tout les artisans qui devaient être présent autour et donne une autre âme a cette ville. C'est en explorant une vielle partie de la ville que j'ai fait la rencontre de Zafar et Ali qui font goûter un peu plus au tradition Ouzbek, avec au menu un délicieux ''Plov'' plat traditionnel a base de riz, de viande, quelques légumes et du gras, un délice. Retour sur la route en direction de Shakhrisabz qui a vu naître Amir Temur, le héros a qui les Ouzbek s'identifient, puis Quarchi ,autres villes avec d'autre merveilles d'architectures. Puis enfin Bukhara, genre de ville sainte d'asie centrale, ou les vieux quartiers on résistés a la russification des rues et conserve un autre cachet avec ses maisons en terre, ses ruelles étroites ou il fait bon se perdre. La aussi les nombreux joyaux d'architectures sont victime de la restauration nécessaire, a part quelques perles datant du 10 siècle, épargnées par le mongole Genghis khan qui avait eu pour habitude de tout détruire sur son passage. La ville est très calme est relaxante, malgré l'afflux de touristes, elle reste très agréable, aucune oppression de la part des commerçants, de nombreux bassins bordes d'arbres font des endroits parfait pour les heures les plus chaude de la journée. Mon visa se fini, direction le Turmenistan pour 5 jours de transit puis l'Iran au fil de la route de la soie.

La frontière a l'est du pays fut mon point d'entree au Kirgistan, dans la magnifique vallée de karkara a la rencontres des bergers gardant leurs troupeaux dans ces alpages verdoyants et des apiculteurs menant leurs essaims en transhumance avant d'arriver a Caracol. Petite ville a l'est du renomme lac Issik-kol  ,je passa une dizaine de jours a m'imprenier de la vie locale et d'ecouter les histoire des nombreux voyageurs explorant les montagnes alentour. Trop fainéant pour la rando, je me contenta de leurs récits. Petit plongeon dans la culture Kirgis avec le festival de l'ail, et oui, l'ail est originaire du Kirgistan, ou l'on a pu assiste au polo local " Buskashi", ou le ballon est remplace par une carcasse de moutons a qui l'on a préalablement ôter la tète et les pattes, faut faire avec ce qu'on a!!. Ensuite j;ai suivi les rives du lacs pour rejoindre l'agreable capitale Bishkek ou j'ai rencontre de nombreux acolytes, dans l'auberge de Nathan,un canadien qui a dédie cette place au cyclistes, un paradis avec tout les outils nécessaire pour réparer son velo et faire le pleins de bons plans et d'itineraires insolite. Cette fois ci , je n'ai pas résister a l'appel de la montagne et me suis retrouver dans le parc national d'Ala-archa a gravir la montagne pour finir sur un glacier a 4100m. Après Bishkek, direction Osh, la seconde ville du pays beaucoup plus au sud.. 800kms a travers les montagnes, quatre cols a plus de 3000m, paysages sublimes, le petit lac d'altitude Song-kol borde de yourtes ou je me délecta de "koumous", lait de jument fermante qui est la boisson nationale, de miel et de pain tout ça offert gracieusement par les fabuleux nomades venus passer l'été dans les alpages ou l'herbe est plus verte. Ça a été une des plus belle étapes de mon voyage. Fini les montagne, bonjour la vallée de fergana avec ses 35 dégrée quotidien, ses pastèques, ses fruit et légumes et la vie nomade laissant place a l'agriculture sédentaire. Petite pause a Osh donc, en passant mes journée a me perdre dans le bazar et a regarder les joueurs d'echecs, en attendant le début de mon visa pour l'Ouzbekistan.

Retour en Chine donc dans la région autonome Ouïghour du Xingjiang. Quelques jours après la frontière de paysages plutôt désertiques, invite quelques fois par des Kasaks pour le thé ou un repas avant de retrouver la civilisation dans la ville d'Urumqui. Après plus d'un mois de camping, un peu de confort et de repos  furent nécessaire. Choc de culture entre les Chinois ''Han"" et la communauté Ouïghours, ces derniers présentant des traits plus Européen, musulmans et revendiquant une indépendance, plus d'egalite face au Chinois en perpétuelle expansions qui deviennent de plus en plus nombreux et occupent les meilleurs places de la société, créant de ce fait beaucoup de tentions résultant sur des attentats sévèrement réprimer par le gouvernement par des exécutions sommaires. Du coup, l'armee , l police sont omniprésente, et la population semble habitue a tout les contrôles, les censures d'internet et les véhicules militaires. Mealtingpot de cultures, Ouzbek, Kazak, Russe parmi tant d'autre forment des communautés a travers cette provinces,, donnant une douce transitions avant l'asie centrale, Je pris la route au nord de la chaîne de montagne des Tianshan, a travers une plaine fertile ou je savoura de délicieux fruit de saison gorges de soleil. La route relativement plate fini par un col jusqu'au lac Sahyran avant de descendre sur une amusante autoroute a travers de tunnels, des pont suspendus issue de la folie des entrepreneurs Chinois. Quelques kilomètres après, je traversas la frontière sans problèmes pour entre au Kasakstan , ou je retrouva la touche soviétique dans les maisons, avec l'annimation des bazars pour acheter la tambouille. Les ''Acuda"" qui veut dire ;;D'ou tu viens"" pleuvent au bord de la route par les curieux toujours ravis d'essaye de parler a un étranger. Court séjour dans ce pays, 5 jours seulement avant de rentrer au Kirgystan.

Apres la Chine surpeuplee,avec ses infracstructures modernes, ses autoroutes, ses villes immenses, me voila bien depayse apres etre rentre en Mongolie. Plonge directement dans le desert de Gobby, des centaines de kilometres sans la moindre habitation a part quelques yourtes eparpillees ca et la.Ici les troupeaux se deplacent librement, pas de barieres, juste des hectares pour brouter le peu de vegetation qui pousse.C'est vaste, c'est sauvage, on a une reeele sensation de liberte ici, l'impact de l'homme est quasiment invisible.Donc me voila moi et mon velo a travers ce desert, ou les elements se dechainent, tempete de sable, de neige, pluie verglacante, neige, et toujours un vent tres fort.Il m'aura fallu pas moins de 12 jours pour rejoindre la capitale Ulan baataar, ville tres etrange, pas tres belle a vrai dire mais parfait pour une pause. J'ai retrouve les joie de la cuisine dans l'auberge ou j'etais avec en prime des produits longtemps absent de mon alimentation, du beure de la creme, des patates, comme a la maison! De nombreux voyageurs se retrouve ici pour organiser de futur excurtions, donc ne nombreuse rencontres des 4 coins du monde.Apres une dizianes de jours, mes visas en poche , je reparti dans le royaume de Genghis Khan, figure emblematique des Mongole, qui regna sur a peu pres la moitie du monde au 13e siecle. Difficile d'imagine qu'un pays si puissant soit a l'heure actuelle si peu developpe. Destination ouest, pas complique pour pas se perdre, il suffi d'avoir le vent de face, les paysages defillent lentement, les nuages contrastent les prairies, les chevaux detallent a ma vue et les quelques locaux s'amusent de me voir pedaler en se demandant pourquois j'ai pas une moto a la place.L'hospitalite Mongole est certainement exagerer dans les guide de voyage, mais m'etant arrete dans des yourtes, j'ai quand meme eu l'occasion de gouter au produits locaux, biensur a base de viande et de lait, legumes et fruit etant quasi inexistant.J'eu l'occasion aussi de rester jours dans une famille, en les aidant dans leur business , la preparation de kouchour, sorte de crepe fourre avec un melange de viande et oignons puis frit dans l'huile.Accompagne du the locale, melange de the noir et de lait bouilli avec une pince de sel, puis avec une corbeille de viande seche, voila la nourriture de base Mongole.Une apremidi memorable aussi,  la rencontre de Bruno et Francoise,couple retraite voyageant dans leur incroyable campingcar charge de provisions pour des mois  puis de Clement passant par la en moto, nous voici 4 Francais sirotant du ricard et du vin rouge, avec des bon petit plats du terroir genre cassoulet, roquefort, un vrai bonheur, ca faisait longtemps!Pas grand choses de plus a raconter, la Mongolie ca se vie, ca se ressent, ca restera un point fort de mon voyage! 

Après avoir récupère mes jambes et mon extension de visa, c'est parti pour Chengdu. Deux petites journées de route ponctuées de problèmes techniques, une jante éclatée. Rien de grave, et je trouverai de quoi réparer rapidement une première fois par un mécano en bois mais qui m'a bien dépanné puis plus sérieusement une seconde fois dans un vrai magasin avec des vrais pièces détachées géré par un jeune passionne. Du coup , check up complet de ma monture et malgré ces péripéties j'arrivera comme prévu et me posa dans une petite auberge de jeunesse ou je fis la rencontre d'un autre cyclo Francais. Échange d'impressions autour de quelques bières et de brochettes de viande. Chengdu est une importante ville avec quelques 17 millions d'habitants,ça bouge beaucoup mais c'est respirant et j'ai pu complète ma collection hiver dans un decathlon !! On trouve mémé ikea, carrefour...J' ai passe une après dans un parc, alors c'est rigolo, on a le coin des artistes musiciens avec le petit groupe de chant communiste, la diva d'opera, le Johnny local puis bien d'autre,c'est très bruyant.Juste a cote on a l'aeorobique pour garder la forme, un peu plus loin la foire aux célibataires avec des mères essayant de trouver la personne idéale pour leur enfant. Ensuite on le coin des joueurs de badminton, d'echecs Chinois et aussi le salon de thé en plein air avec en prime la possibilité de se faire nettoyer les oreilles par des spécialistes.Je consacra une autre journée a admirer ces énormes peluches qui ne font que manger et dormir et qu'on appelé des pandas puis petite visite en charmante compagnie d'une amie locale.Retour sur les routes pour la ville de Xian, réputée pour son armée de terre et entourée de fortifications. Les monuments tel que ce que l'on peu appelé clocher et tour des tambours qui servaient a donner l'alerte en cas d'attaques sont vraiment très styles une fois illumines. Le quartier musulmans et un régal pour les yeux et les papilles,c'est la que j'ai vu notamment les maîtres des nouilles ou comment faire des spaghettis a la mains avec un morceau de patte, impressionnant.J'ai tue une journée de pluie au musée en me délectant de l'histoire de Chine puis une autre au tombeau de l'empereur Jingdi, similaire au soldats de terre mais diffèrent, pas de hordes de gens qui vous compressent, moins cher et certainement aussi intéressant. L'etape suivante me mena a Pyngiao, petite ville historique ou le décor est presque intact, des vielles rues pavées, maisons anciennes a l'architectures tradition elle, l'atmosphere des films Chinois est la, pour longtemps? c'est moins sur.J'arrive finalement après ça a Pékin, content d'etre arrive après avoir pédale 150kms par jour les dernières semaines. Chaud mais pas fatigue, mon amie Quenna de Taiwan viens me rendre visite ,bon pour le moral et aussi pour faire des rencontres vu qu'elle parle la meme langue. On se laissera guide dans la ville par Harisson,un Chinois en vacance qui connaît comme sa poche puis nous offrira un fameux Hot pot pour diner, genre de fondue locale qui me faillais essayer absolument. Puis la fameuse grande muraille de Chine, ou les cliches ne reflètent que vaguement la réalité, faut la voire, se promener dessus pour en resentir le charme. Déjà temps de quitter le pays, bus de nuit jusqu'a la frontière Mongole, demande de visa obtenu dans la journée puis passage de la douane et ca y ait, le désert de Gobi s'offre a moi...

Ca fait du bien d'arriver dans un pays ou on vous accueille avec le sourire et une certaine politesse. Puis avec du beau temps en plus de ça.. J'ai ressenti un bien être s'installer des le premier jour. du coup. Alors la Chine c'est grand, dans tout les sens du terme, je reste extraordinairement surpris. Je sais pas a quoi je m' attendais mais pas a ça , c'est sur. Du coup j ai commence a roule dans la région du Yunnan, plutôt montagneux , je me chauffe les jambes dans des cotes interminables qui donnent droit a des panoramas de fous avant de faire chauffer les freins. A mon habitudes, je passe sur des routes pas trop fréquentées au milieu de la cambrousse, et c'est l'occasion de rencontrer les minorités habitant les montagnes, habille de leur costumes traditionnel, L'agriculture en terrasse est leur principale activité et le moindre morceau de terre est cultive, difficile de trouver un espace libre pour camper. En tout pour l'instant, j ai pas vu d'enfants travailler , par contre les femmes on moins de chance. C'est pas rare de les voir préparer du ciment pendant que les mec se la coulent douce au volant du tracto.... Les villes sont aussi très surprenante, très propre, avec peu de voitures et beaucoup de scooter électrique, des piste cyclable partout et du coup peu de pollution.. Par contre, ils ont une manière effrayante de conduire, le klaxon est indispensable et faut bien comprendre qu'en vélo, t'es transparent ou t'existe pas . Je continue ma route a travers la province du Sichuan , toujours montagneux, située dans les contrefort du Tibet et réputée pour sa cuisine épicée. Après plus de 1500 bornes je finirai de me ruiner les jambes dans l'acsentiom du mont Émei, l'une des quatres montagnes sacrée du Bouddhisme Tibetain , a pied cette fois. Le vélo dans les escaliers ,c'est pas pratique. Ca fait du bien de respirer l'air frais a 3000 m d'altitude, puis l'endroie était plutot jolie, par contre ça fait trois jour que je peux plus marcher a cause de courbatures. Ca va s'arranger et en attendant j'en ai profite pour renouveler mon visa que je viens d'obtenir . Ca continu pour un mois.

Court séjour au Vietnam puisque j ai eu que 20 jours, pourquoi cela restera un mystère mais probablement que j'avais contrarie un des douaniers. De Chau Doc a Vung tau en passant par vinh long , tra vinh Ba tri et Go cong .Les premiers jours on étés fabuleus, voyage dans le delta du Meckong avec Tini et Anja, chaleur et humidité, rizières et plantations de noix d coco, fermes de crevettes et de poissons,  de nombreux canaux a traverser, et des gens adorables qui relèvent le niveau des administres. Très difficile a comprendre, on se bat tout les jours pour réussir a commander un café, que se soit en montrant la monnaie, en écrivant les phrases sur un morceau de papier ou en faisant des signes, on obtient jamais ce qu'on veut et jamais au même prix. Un matin ou l'on a rate le ferrie pour eviter Saigon, on a été gracieusement invite par une femme qui parle un peu anglais, du coup j ai trinque avec le mari en buvant une sorte de liqueur de serpent,  puis on a passe la nuit chez eux avant la traversee epique sur un vieux rafio jusqu'a Vung tau. De la ,on remontera par la cote venteuse jusqu'a Nha trang. Cette partie est totallement differente au vu des paysages, des dunes de sable, des lacs mais surtout des hotels et stations balneaire, tres prisees par les Russes, On croisera quelques ciclystes sur la route ,plus chanceux car ils n'avaient pas a lutte contre le vent.

Me voici donc au Cambodge, pour un mois, après avoir obtenu mon visa a la frontière pour 25 dollars. La première ville sur la route est Strung Treng , et je ferais une pause d'une nuit afin de prendre mes repaires. Déjà changer de la monnaie , faire quelques courses et me renseigner sur un ferrie pour prendre une route directe pour Siem Reap et la cite d'Angkor.  les produits sur le marche sont bien moins cher qu'au Laos, et les premiers repas on étaient agréablement surprenant par la différence de saveur.
Après la traversée du Meckong en bateau me voila sur une belle route toute neuve quasiment fini mais totalement déserte vu que le pont ,lui, est encore en construction,Cette partie était plutôt chiante, il faisait chaud, très peu de villages et un paysage tres monotone qui a quand même commence a se transformer en jolies routes ombragées par des rangées d'arbres du genre platanes au fur et a mesure que je me rapproché de zones plus peuplées. Quatre jours après, j'arriva a Siem reap, ville ultra touristique avec un choix immense de restaurants et d'hotels, par très représentatif du pays et assez stressant mais c'est le point de départ pour la visite des temples d'Angkor.
Angkor, c'est une ancienne cite qui abrita un gros million d'habitants au 13 siècle, une ancienne civilisation ,les Khmers habitaient la et régnaient sur un empire relativement vaste avant de décliner on ne sais trop pourquoi. Le site est classe patrimoine mondiale et considère comme la 8eme merveille du monde.C'est aussi le plus gros site religieux existant avec un mélange d'indouisme et de bouddhisme. Muni d'un passe de trois jours je me lance pour la visite en prenant le temps de visiter une multitude de temples, de m'imprenier de l'atmosphere local tout en essayant d'eviter les masses de touristes et d'imaginer cet endroit comme il devait être a l'epoque, ça laisse pantois. Des kilomètres entier de fresques exprimes les nombreuses batailles et conquêtes ainsi que la vie des dieux et autre ancienne légendes. Les photos parlent d'elles mêmes, on peut dire qu'ils ne manquaient pas de tailleurs de pierre et de danseuses,ces dernières étant représentée un peu partout et portent le nom d'aspara. C'est vraiment impressionnant, meme si on aime pas l'archeologie on peu pas reste insensible a tant de folie démesuré.
L heure est venu de continue et c'est avec Jonathan que j'avais rencontre en Thailande que l'on va rejoindre Phnom penh, la capitale en faisant un détour par l'ouest du pays et ainsi contourne le lac Tonle. Quelques parties étaient très jolie avec les montagnes se dessinant a l'horizons ou bien des systèmes de canaux pour irrigue les rizières et toujours les sourires des nombreux enfants nous criant hello. Nouvelle pause dans la capitale cette fois ci, demande de mon visa Vietnamien qui me faudra attendre une semaine et demi sous prétexte que j ai pas voulu payer 10 dollars de plus pour l'avoir en express et que nous somme en pleins nouvel an chinois, aussi célèbre par les Vietnamien, donc fermeture du consulat.C'est pas grave j suis pas presse. Mais j'ai pas l'intention de reste ici les bras croise donc après avoir fait un gros nettoyage de mes affaires, la visite de la prison S21(ancien centre de détention et de torture sous le régime de Polpott)dit au revoir a Jonathan, c'est avec deux amies Allemandes, Tini et Anja que je partis, cette fois ci en direction du sud vers la capitale du poivre Kampot. Après ca je remonta seul vers Phnom penh pour chercher mon visa puis partir vers la frontière dans la foule pour rejoindre les filles cote vietnamien . Le Cambodge a eu le même sort que le Laos dans l'histoire, protectorat Francais, bombardements massif américains pendant la guerre du Vietnam et en plus le génocide des Khmers rouge qui fit 2millions de victime soit un tiers de la population entre 75 et 79.

11 Décembre 2013, après avoir traversé le pont de l'amitie depuis la Thailande, me voila arrivée au Laos, portant le nom officiel de Laos PDR (peoples democratic republic). Après avoir réglé les détails administratifs et paye 30 dollard,, mon visa en poche, je roule une grosse vingtaine de kms jusqu'a la capitale Vientiane .modeste ville d'a peine 300000 habitants qui sera mon camp de base pour une semaine.. Je pose mon velo et mes bagages dans une petite guesthouse tout ce qui a de plus basique
 et pas chère en face d'un troque géré par des Francais, parfait pour l'apero et socialiser avec quelques expats. Le deuxième jour sera consacre a faire ma demande de visa Chinois au consulat de ces derniers. Beaucoup de paperasses a fournir mais finalement plus rapidement géré que prévu, plus qu'a attendre la confirmation. La ville n'a rien de super existant et je consacre la majeur partie de mes journées a dormir et manger ,notamment de délicieuses baguettes Francaise bien croustillantes transformées en sandwiche, des soupes de nouille Laotienne ou encore diverses spécialités Vietnamienne et succulentes pâtisseries probablement Chinoise. C est justement dans un petit resto que j ai rencontre un couple de voyageurs Francais avec qui on a refait une partie du monde autour d'une bouteille de Lao Lao, whisky local a 1 euro la bouteille qui nous a bien réchauffer la tête. Les jours passe tranquillement ponctues des rare visites a faire. Le marche du matin est vraiment authentique et l'on trouve des choses
 vraiment surprenante, grenouilles, tortues ,anguilles, rats, écureuils...mais aussi de délicieux desserts a base de riz rouge ou vert cuisine a la vapeur dans des paniers de bambou avec du lait de coco, un régal. J ai visite deux fois le site COPE, qui est la seule organisation avec un centre de soins et de rééducation dans le pays. Leur but est d'assister les victimes des bombes, mines , missiles inexplose qui infeste encore de nombreuses province du Laos. Le métal est une source de revenu supplémentaire pour les laotiens
 vivant dans ces régions,les plus pauvres du pays, et ils n' hésitent pas a se munir de détecteurs et de pioches pour récolter les debris de la seconde guerre d'Indochine. 2 million de tonne de bombes on été larguées juste sur le Laos, pays neutre pourtant ,par les Americains entre 1964 et 1973 dans le but de coupe le ravitaillement des force Viet Minh dans le sud Vietnam. 270 millions de petites bombes on été dispersées dont 30 pour cent n'on pas explose. Du coup les accidents sont pas rares et les victimes se compte par millier depuis la fin des comflits  .En gros, après 100 ans de colonisation Francaise et la première guerre d'Indochine de 46 a 54, après c'etre pris plus de bombe sur la tète que toute l'europe pendant la seconde guerre mondiale puis subit les effets d'un régime totalitaire depuis 1975, les habitants de ce pays sortent juste la tete de l'eau et on l'air de commencer a doucement se développer, mais
encore beaucoup reste a faire surtout au niveau éducation et santé. N'empeche que les sourires sont sur tout les visages et c'est en commençant a rouler le long des villages sur la route 13 qui suit le Meckong vers le sud que j'ai pu m'appercevoir de la gentillesse de ces gens, avec les enfants qui me crient ''Sabaidee'' ,le ''bonjour'' local, puis me court après ou m'accompagnent le temps d'une petite course avec leurs vélos.
Les premiers jours, j'ai roule sur la nationale 13 pendant 250 kms jusqu'au village de Ban vieng puis bifurque a l'est sur la route n8 qui traverse de petites montagnes au crêtes acérés en direction de LakSao. C'est la que j ai rencontre Andreis, un Hollandais avec qui j'ai roule les jours suivants. On quittera LakSao vers le sud en même temps que l'asphlte avec une nuit au bord d'un lac, un petit bain a fait le plus grand bien. Le lendemain ,on a eu le loisir de faire une partie de pétanque, sport officiel du Laos, puis mon partenaire ma offert mon repas de noel, des grenouilles grille au barbecue, entière
avec la peau,arrose d'une bière. fabuleux. Notre chemin suit plus ou moins une route au millieu du pays entre le fleuve et la frontiere Vietnemienne. Lak Sao-Mahaxai-Sepon. Sur ce dernier tronçon, les choses sont devenues intéressante quand  la bonne piste en latérite que l'on suivait se rétrécisse au fur et a mesure que l'on avançait pour finir sur ni plus ni moins un sentier. On demander la direction au villageois pour s'orienter et certainement pour eux le plus court chemin est le meilleur .On a eu beaucoup de chance de rencontre une personne qui parlait un semblant d'anglais dans un des plus magnifique village que j'avais encore jamais vu et on passera la nuit ici, chez son oncle avec toute la famille autour, nous examinant comme si on venait de mars avec nos vélo. Tout le village etait réuni autour de feus le soir avec les chiens, les cochons, les poules qui venaient se réchauffe .On a pu partageait leur repas et leur fermentations local et avoir un aperçu unique de la vie dans ces campagnes reculées ce que la plupart
des touristes payent très cher pour voir avec tour organise..... On s'arretera a Sepon le jour suivant avec nuit dans une guesthousse et une bonne douche chaude, devenu obligatoire apres 8 jours de camping, puis c'est la que l'on se séparera, avec mon équipier, lui partant au Vietnam, moi continuant vers le sud. De la j ai entrepris de prendre une route ,secondaire selon ma carte en direction de Salavan. Si la première partie s'averait être relativement en bonne condition,l a seconde, après avoir pris un ferrie pour traverser une rivière (le pont ayant été bombarde et jamais reconstruit) était digne d'une randonnée vtt plutôt hardcore. De la boue, du sable, des ruisseaux a croise tout ça cumule avec un labyrinthe de pistes on fait de ce morceau une vrai partie de plaisir surtout avec un vélo de 40kilo. J ai quand même réussi a rejoindre le goudron en bon état après 100 km de galère. Maintenant, de Salavan, direction Pakse au bord
du Meckong en passant sur le plateau des Boloven, fameux pour ses plantations de café et la fertilité de son sol. Après que l'on m'ai gracieusement demande de quitte mon lieu de camping sous crainte d'être egorge et je ne sais quoi ,j ai passe ma deuxième nuit chez l'habitant, avec mon hotte qui s'est fait un plaisir de pratique son anglais et de me faire visite sa ferme. Presque aucun coup de pédale n'on été nécessaire le lendemain pour rejoindre Pakse, puis après avoir trouve une chambre et pris un peu de repos, on est parti avec deux allemands se payer un bon repas et fête le réveillon pour cette nouvelle année. Je rencontrerai Paul, un français qui voyage aussi avec un vélo mais couche et l'on partira ensemble vers l'extreme sud du Laos au 4000iles pour finir les quelques jours restant sur nos visas .L'ile de Don Det vit au fil du fleuve, tout est calme ici pas de voiture, seulement des vélos et quelques scooters, tout ce qui il a faire et de ne rien faire si ce n'ai de fumer des cigarettes mal roulées et se relaxer
sur un Hamac. On est le 9 janvier, mon compteur affiche 4300 Kms et suis au Cambodge.